Un nouveau destrier
Quand je suis parti de France, mon labo a tenu à se cotiser pour que je ne reste pas un piéton dans la grosse pomme. Grand bien leur a pris ! Car j’ai en effet difficilement supporté de me retrouver bipède après 7 années de chevauchées cyclistes lutéciennes. Par bonheur j’ai trouvé un tchèque sur le départ, qui, en échange de mon enveloppe d’euros, m’a remis une monture de course en carbone dernier modèle :
Alors je profite de l’espace qui m’est laissé ici pour vous remercier tous le plus chaleureusement si vous lisez ces lignes, car rien n’est semblable à une promenade cyclste dans un Central Park au coucher du soleil, dans l’air frais du soir, avec des bassins, des fleurs, et le plaza qui surgit derrière un saule pleureur.
Le nom de se vélo a aussi une particularité intéressante puisqu’il porte le nom d’un des molécules auquel je vais m’intéresser.
Le tchèque m’a également donné plein de meubles et d’ustensile de cuisine. Ce qui tombe bien…